`

Attention, l’autoédition et la publication à compte d’auteur ont un prix. Dans les deux cas, je dois compter le coût d’impression de mon œuvre. En autoédition, je dois y ajouter le coût des envois et le temps passé à contacter les distributeurs.

 

Jacqueline a choisi d’éditer son premier ouvrage à compte d’auteur:

« Avant la sortie du premier volume, j’avais fait le vœu, via Allwewish, d’éditer mon premier roman, « Chronique d’une enfance inachevée ».

Après sept ans d’écriture et de corrections, j’ai entamé le parcours du combattant à la recherche d’un éditeur. La réponse habituelle – « Votre nom est inconnu », « Votre ouvrage ne correspond pas à notre ligne d’édition », etc. – ne m’a pas rebutée : accomplir son rêve requiert de l’énergie, de la volonté et des sacrifices ; je m’étais résolue à économiser pour publier à compte d’auteur.

Publibook finit par accepter ma Chronique et le grand jour arriva : je connus enfin une joie grisante, tenir entre les mains le premier exemplaire ! Publibook m’invita ensuite à plusieurs Foires du Livre. J’y fis ainsi connaissance de nombreux lecteurs, qui me suivent encore aujourd’hui.

Quelques mois plus tard, à mon vif plaisir, Allewewish me félicita pour le référencement du livre à la FNAC : ils avaient discrètement suivi le rêve que j’avais décrit sur un bout de leur toile « Pouvoir éditer mon premier roman ! »

Ce rêve ne pouvait s’arrêter là : une réelle fringale d’écrire, de partager mes émotions, m’animait.

Le deuxième roman, « Les yeux verts m’ont dit », fut donc une évidence, la suite logique de cette Chronique ; je devais l’écrire.

L’incompréhension de plusieurs proches me tirait vers le bas, sans pouvoir m’arrêter : « Tu perds ton temps, tourne-toi vers des actions plus concrètes ! Si l’écriture te sert de thérapie, elle ne te rapporte rien et tu t’enfermes dans ton monde. Reviens dans le monde réel ! »

Serrer les dents, persévérer en dépit de tels arguments, fut un combat quotidien. Mais, dans le cliquetis frénétique du clavier, petit à petit, cette nouvelle histoire prenait tournure.

Sans céder au découragement devant le peu d’enthousiasme de plusieurs éditeurs, je me résignais à nouveau à publier à compte d’auteur. Quelle ne fut pas ma surprise quand, à la place d’un devis, j’ai découvert un mot de Publibook : « Cette fois, nous avons décidé de vous éditer. »

Comment décrire le bonheur qui m’envahit ? Les larmes d’émotion ? Eh oui ! Cette fois, j’y étais arrivée. Sept ans de persévérance à nouveau, pour ce second ouvrage, − mais le résultat était là : rêver ne suffit pas, seul un travail acharné permet de le concrétiser. Un rêve ne s’arrête que lorsqu’on ne croit plus en soi.

Merci au bon vent qui m’a poussée ; à ceux qui croient aux rêves. Et, à dans sept ans j’espère, pour le suivant ! »

Jacqueline Corbisier via AllWeWish
www.jacquelinecorbisier.be
Facebook : Jacqueline Corbisier

Pour voir l'article sur le site original d'AllWeWish

 

http://www.le-gotha.com/Litterature/

et en page d'accueuil

Bonne fin de journée

L'équipe du Gotha