Maryline

 

 

 

Petite Maryline,

 

Tu es tellement câline

 

Un petit bout de queue

 

Une figure bien plate

 

Un corps disons…bien rond

 

Pour ne pas dire ballon.

 

Tournée en boule

 

La tête sur l’oreiller

 

Tes petits yeux fermés

 

Je te regarde rêver

 

Les rêves d’un chien,

 

Sont toujours sans chagrin

 

Qu’il est un vrai plaisir

 

Que de te voir dormir.

 

Pourtant que t’importe,

 

Si je manque de place,

 

Installée contre moi,

 

Tu te détends encore

 

Mieux au creux de mon corps.

 

Et je n’ai plus de place,

 

Je te pousse bien un peu,

 

Tu rouspètes, tu grognes,

 

Tu râles, et ouvres grands les yeux.

 

Moi, je remercie Dieu,

 

Vraiment tu es divine

 

Ma petite boxer câline.